Réalisation de la vidéo : Clara BIENNIER et Ian STEFEN-QUENCE
Vous entrez maintenant dans le monde d'APOCALYPSO. Un nouveau concept de spectacle musical.
Le synopsis ainsi que quelques démos musicales sont présentés sur ce site.
Nous recherchons maintenant des associés susceptibles de se joindre à nous. Si vous appréciez ce que nous avons créé et entrevoyez un avenir prestigieux pour ce spectacle, contactez-nous librement.
Que vous soyez producteur, investisseur, agent, ou simplement fan, vous êtes le bienvenu. Notre prochain objectif est de mettre APOCALYPSO sur scène.
Le projet APOCALYPSO est une aventure. Tous les membres de l'équipe mettent leur énergie et leur talent au service de cet événement.
Autour des chanteurs et comédiens qui évolueront sur scène, des techniques modernes seront utilisées pour créer le monde d'APOCALYPSO: 3D, holographie, jeux d'ombres et de lumières, procédés scénographiques. Aujourd'hui, ces techniques permettent la création de décors par projection, évitant ainsi la construction de décors «en dur», très coûteux et difficiles à transporter lors d'une tournée.
Le mythe de la planète-prison où un peuple d'exilés est livré aux mains d'un Tyran / Titan est un classique. Ainsi que la rébellion des peuples pour renverser l'oppresseur. C'est, en fait, un thème universel car il figure de nombreuses fois dans la Bible, la Torah, la Mythologie, ou même la littérature épique, classique ou d'aventure.
La durée du spectacle est d'environ deux heures
Nous visons un large public qui comprend tous les amateurs d'action et d'aventure.
Ce spectacle se doit de transcender les générations
APOCALYPSO retrace l'histoire des survivants d'une grande catastrophe intergalactique. Une population d'exilés qui se trouve jetée dans une Cité-prison nommée EXILUM. Ils vivent sous la domination d'un terrible tyran, TOTALAMOK, vénéré et craint par les différentes tribus de la cité.
Le despote apparaît rarement en personne devant la populace, mais communique depuis son repaire secret à travers de multiples écrans géants.
Entouré de ses trois lieutenants ZAGOR, SHAÏKAN et YENARK, il règne sur la cité comme sur un théâtre de marionnettes.
Mais l'apparition d'ILLEL, agitateur masqué, capable de se fondre dans le décor tel un caméléon, va bousculer le destin de la Cité.
ILLEL va multiplier les provocations et les appels à la révolte jusqu'à devenir un héros du peuple. Le déroulement du spectacle montre la rébellion progressive contre le pouvoir et la dictature, qu'elle soit affichée ou pas. On arrache le gant de velours et on brise la main de fer.
Ce sont les esclaves du système, les travailleurs. Ils triment sans savoir pourquoi. Juste pour survivre. Le jour, ils épuisent leurs corps sur des machines et le soir, se retrouvent dans des bouges où ils cherchent l'oubli à travers l'alcool, la danse, la fornication.
Leur tenue est passablement chaotique : souvent rapiécée ou en haillons, laissant apparaître la musculature des hommes et les formes des femmes. Tee-shirts, gilets de cuir à même la peau, etc. C'est le temple de la sueur, des larmes, de la force. La vie y est dure.
Ici, nous avons la classe des «fonctionnaires». Entièrement dévoués au système, ils obéissent au doigt et à l'œil en accomplissant aveuglément les missions qui leur sont confiées par le Pouvoir Suprême. Parqués dans de vastes bureaux à haute évolution technologique, ils «gèrent» l'uniformisation des dossiers, consignant les étapes évolutives de chaque citoyen d'EXILUM, signalant les erreurs de comportement, les violations de règlements, etc.
Leur tenue est uniforme, avec de grosses lunettes grillagées qui leur donnent des yeux de mouches. La grande directrice des SUBALTS est un personnage féminin central : YENARK.
Ce sont les derniers êtres qui se croient «libres» sur EXILUM. Les artistes, les musiciens, écrivains, penseurs, poètes, peintres, sculpteurs, funambules, clowns, etc. En fait, ils sont là pour le divertissement de TOTALAMOK et bénéficient d'un style de vie beaucoup plus cool que les autres exilés.
Ils jouissent de certains privilèges tant qu'ils ont les faveurs du dictateur. Mais leur maître et seigneur peut, à tout moment, les rétrograder dans une zone inférieure si une prestation lui déplaît. Il lui est même arrivé d'envoyer au DEZINGUEUR (désintégrateur) un artiste lui paraissant subversif ou ayant cessé de le divertir.
La zone où évoluent les artistes est le théâtre central des opérations. On y trouve la grande place où ils se livrent à leurs activités: funambules, acrobates, cracheurs de feu, musiciens, danseurs, etc.
Le tyran, maître tout-puissant de la cité d'EXILUM. Extraordinairement intelligent, il cache derrière ses manières affables et sa voix doucereuse une redoutable cruauté. Il incarne l'esprit criminel. Il cache en lui le terrible secret de la fondation d'EXILUM.
Au niveau suprême, entouré d'une forêt d'écrans vidéo, TOTALAMOK vit seul dans son antre interdit à tous. Seuls ses lieutenants peuvent parfois s'y aventurer. Lorsque TOTALAMOK apparaît aux citoyens d'EXILUM (uniquement en images vidéo), ils sont touchés par son apparence monstrueuse qui leur rappelle le courage dont il a apparemment fait preuve pour les sauver.
Un des deux lieutenants principaux de TOTALAMOK. Un être autrefois sage et bon qui, bien qu'implanté par son maître pour faire régner l'ordre, essaie toujours d'éviter la violence et de régler les conflits par la raison. Il temporise et fait appel à la mesure et à la compréhension.
L'autre lieutenant de TOTALAMOK. Personnage cruel et retors. Une ignoble brute dénuée de tout sentiment. SHAÏKAN dirige «La MILITZ», une horde d'individus zombifiés qui lui obéissent aveuglément. La moindre incartade, dans n'importe quelle zone d'EXILUM, est impitoyablement matée. Hélas, souvent dans le sang.
Le détonateur de la révolte. Surnommé par le peuple «ILELL le Furtif», il apparaît et disparaît à volonté. Son physique contraste avec sa voix féminine, d'où son «androgynité». Il se dissimule très facilement dans la foule et disparaît souvent en se fondant dans le décor d'EXILUM à la façon d'un caméléon. Fantôme insaisissable, il hante tous les lieux d'EXILUM et semble apparaître par magie. Il se mêle aux KLOAKS et les pousse à refuser leur condition d'esclaves. Il se mêle aux SUBALTS pour court-circuiter leur obéissance aveugle. Il se mêle aux ZEPHURS, les exhortant à la création subversive. Et jamais la MILITZ ne réussit à l'arrêter.
Grande «directrice» des SUBALTS. Femme de pouvoir, elle est frigide et coincée. Sorte de «colonel» qui fait marcher les fonctionnaires à la baguette. Elle ne va se dégeler qu'en tombant amoureuse du beau WILDRIFF, chanteur charismatique et idole des Exiliens. C'est un personnage extrêmement déterminé à assurer l'ordre moral dans la cité. Elle possède des renseignements sur absolument tout le monde.
L'idole des jeunes. Dans toutes les zones, ses apparitions déchaînent l'hystérie des fans qui le considèrent comme un demi-dieu. Ce qui agace TOTALAMOK qui n'aime pas partager l'admiration de son peuple.
Ce chanteur très populaire est un habitué des paillettes et d'un mode de vie déjanté. Il connaît l'impact de son physique et de sa sensualité sur les femmes et en profite pour mener une vie dissolue, volant de conquête en conquête et défrayant la chronique par ses amours, ses bagarres et ses cuites mémorables. Mais… lorsqu'il reviendra du Royaume des Ombres après avoir découvert le Grand Secret de l'immortalité, il deviendra, pour le coup, une véritable légende vivante.
La grande prêtresse des médias. Un androïde ! Un être moitié humain-moitié robot. Elle présente chaque jour le «EXILUM News». Seul, le haut du corps est visible et mobile. Son visage n'est qu'une grosse paire de lèvres épaisses et rouges qui annoncent les évènements d'une voix mécanique. Deux gros globes oculaires, pivotant à 360° et garnis de cils immenses, surplombent la paire de lèvres. On peut supposer que DARZAL est vivante, car elle réagit aux provocations extérieures. Toujours tyrannique avec les techniciens qui la manipulent, et toujours servile envers les dirigeants.
Elle avait 12 ans lorsque l'ignoble SHAÏKAN a choisi ses parents pour être sacrifiés lors d'un «délestage de surpopulation».
Chez les KLOAKS, lorsqu'un enfant de cet âge se retrouve seul, il est pratiquement condamné à mort tant les conditions de vie sont dures. Mais SALERO avait la rage de vivre. Lorsque ZAGOR, lieutenant de TOTALAMOK s'éprend d'elle, elle sait que l'heure de sa vengeance a sonné.
Danseuse dans les bouges, elle passe ses nuits à divertir les KLOAKS fourbus et ivres d'alcool. Rebelle dans l'âme, elle deviendra rapidement l'un des phares de la révolte.
C'est le garde-chiourme parmi les KLOAKS. Servile, fourbe et dominateur, son misérable petit pouvoir lui donne mille possibilités de harceler et humilier les hommes et les femmes de sa caste. Il espère toujours bénéficier de menus avantages de la part du Pouvoir.
Peut-être même monter en grade ? C'est une brute épaisse à la cervelle de crapaud. Uniquement mû par ses appétits sexuels et sa soif de domination.
Haï, méprisé par ses compagnons, il sera enrôlé dans la révolte, mais restera toujours sujet à méfiance de la part des rebelles.
Et Gérard PULLICINO
Maître des lumières et de la magie scénique.
Remerciements à Philippe DRUILLET
pour les premières esquisses de décors.